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En Cuisine

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Elle

  • Fée Clochée
  • Certainement trop un tas de truc et surement pas assez bien d'autres ; mais va falloir faire avec.
  • Certainement trop un tas de truc et surement pas assez bien d'autres ; mais va falloir faire avec.
3 mai 2006 3 03 /05 /mai /2006 23:01
Mon chef est un peu enrobé et donc très souvent réchauffé.
Dans nos nouveaux locaux on a un truc qui s'appelle LA CLIM
et mon chef il n'a pas encore compris
QUE CA SERT A RIEN DE LA METTRE IL FAIT PAS ASSEZ CHAUD !!
mais comme c'est neuf et tout, c'est son nouveau joujou
MAIS MOI JE ME LES PELE TOUTE LA JOURNEE
et je ne suis pas toute seule
mais lui dans son frigo il se sent bien
Du coup meme si je ne fume plus au travail
je descends "fumer" plusieurs fois dans la journée
histoire de me rechauffer
et aussi
par inadvertance j'éteins la clim' sans faire exprès
Moralité, s'il continue JE VAIS ENCORE TOMBER MALADE MOI !
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3 mai 2006 3 03 /05 /mai /2006 22:55
Jolie humaine
se laissant facilement déborder par elle même, ses émotions
et toutes sortes de choses s'en approchant.



N'est ni à vendre, ni à louer, plutot le genre à apprivoiser.

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2 mai 2006 2 02 /05 /mai /2006 22:08

Je l’ai rencontré en été, j’étais aussi lumineuse que les jours, je finissais mes études. Lui, à peine 30 ans, bel homme, le visage marqué par la vie et des yeux encore étincelants comme ceux des enfants. Il me voyait fragile, n’osait pas me brusquer par peur de me casser. Comme une poupée trop rare, trop fragile, gravée dans une autre réalité. Pour lui j’étais comme un pont entre le rêve et la réalité. Alors je lui ai montré au delà des apparences, la réalité, ma réalité. Il a su apprécier. Moi il me rassurait, il savait me parler, me dire les choses et n’était pas réactif à mes attaques. Je me donnais du mal pour qu’il me déteste un peu, qu’il se lasse de moi mais ça n’a pas marché. 

 

L’homme trop avoué et la  femme trop frileuse ayant accordés leurs violons ils ne se sont plus quittés.

 

On s’est vite emballé, juillet est passé plein d’une humeur estivale. Tous les jardins de Paris étaient les notre et tous les jours une occasion toujours plus douce de se retrouver. De mon plein gré je suis venue manger à même sa main. Un homme avait su m’amadouer, me donner envie à nouveau d’aimer et d’être aimé. Août est arrivé accompagné des vacances d’été. Quelques jours de congés et ensemble on est allés voir la mer. Une semaine durant sans fausse note aucunes nous avons vécus ensemble. Moi que la proximité et l’intimité dérangeait encore au plus haut point il y a de cela deux mois, je suis rentrée ravie et enchantée tout comme lui. On se sentait fort et tellement bien ensemble. Nous étions deux, nous étions amoureux. La béatitude était alors l’expression que notre visage employait le plus souvent à notre insu.

De retour dans la vraie vie  j’ai cherché un emploi, 3 mois de chômage ce n’est pas facile pour le moral. Malgré tout il était là, mes crises d’anxiété ne l’ont pas arrêté. Il a su s’éloigner un peu afin de me laisser respirer. J’ai fini par trouver un emploi, rémunéré bien assez pour payer une partie du loyer. Il a alors suggéré l’idée que je puisse venir vivre avec lui et a laisser faire. Il m’a regardé faire évoluer cette idée. Il m’a laissé faire à ma manière.

J’ai eu envi de vivre près de lui, d’être avec lui, de construire avec lui. Pressée d’emménager j’ai tout pris et l’ai envahit ; son chez lui est vite devenu chez nous. J’ai bouleversé ses habitudes et oublié les miennes afin de construire les notre. La mise en place fut rapide et le bonheur immédiat. J’aurais cru la transition plus dure, mais tout c’est fait si naturellement. Ensemble, on  riait comme des enfants. Nous sommes en novembre, les jours raccourcissent et le bonheur d’être deux plus fort chaque jour. Il parsemait notre quotidien de douces attentions, je me surprenais chaque jour. L’amour m’avait transformé, plus douce, plus disponible et tellement attentionné. Je me découvrais de nouvelles aptitudes chaque jour, il avait su faire ressortir le meilleur de moi. Je nous sentais nous inscrire dans la durée, les mots bébé, demain, famille, maison faisaient entièrement partie de nos discussions quotidiennes.

 

Et la femme trop frileuse est redevenue frileuse, est redevenue une fille et s’est renfermé sur elle-même.

 

Soudainement la tendance s’est inversée. Janvier est arrivé et les jours sont devenus trop courts, mon travail suffisant et notre vie routinière.

J’étais déprimé, ce n’était pas sa faute à lui. Il ne m’a pas brisé, pas abîmé. Involontairement je crois que c’est moi qui ai tout cassé. Il ne pouvait s’empêcher de se demander pourquoi est ce qu’il ne me rendait pas heureuse. La vérité c’est que je suis tout simplement tombé de mon nuage. Les deux pieds sur terre je me suis sentie trop coincée. Job, appart, RTT, métro je crois que j’ai saturé. Confrontée à la réalité de ma vie j’ai perdu pied.

On a patienté essayant de traverser ce qu’on a commencé par appeler une mauvaise passe. Cette mauvaise passe a duré, elle s’est envenimée et nos relations n’ont fait que se détériorer. Invivable, frustrée et malheureuse j’ai rendu son quotidien horrible. Lui qui était d’habitude si calme et si posé, il s’est énervé, il a hurlé, il était hors de lui. Personne en toute une vie n’avait réussi à le mettre dans un tel état. Moi, j’ai réussi, en 3 mois de vie commune. C’est le genre de situation qui fait se poser des questions, « peut être que je ne suis pas celle qui lui faut ». On s’aimait encore assez pour ne pas se détester.

 

Et fidèle à lui même l’homme trop avoué est resté l’homme trop avoué.

 

Car je me mentais, me disant que tout ça ne durerait pas, que l’hiver a juste été trop long ….Il ne m’a pas laissé faire et m’a fait remarqué que se mentir ne servait à rien, que ça ne changerait pas les choses. J’ai réalisé où on en était arrivé le jour où il m’a dit « rentrer à la maison en sachant que t’es là me stresse ». Lui qui aimait tant son chez lui, j’avais réussi à lui faire détester. Je me suis alors sentie nulle, égoïste et surtout j’étais énervée contre moi. J’avais tout gâché, j’ai brisé son enthousiasme, son envie de vie à deux, son envie de moi. J’ai presque réussi à lui faire regretter de m’avoir accepter chez lui, je me suis sentie si mal …

Mars est venu, accompagné d’un soleil timide mais ça n’a pas suffit. D’un commun accord nous avons donc organisé mon départ, des heures si longues et si tristes. Tour à tour le tuteur de l’autre nous étions si malheureux, on y avait cru si fort au début et on s’aimait encore. Que c’était il passé entre au début et maintenant ? Ai-je été trop égoïste ou bien est ce lui ? On ne le saura jamais, c’est ainsi on n’étaient pas fait pour être ensemble.

 

Et l’homme trop avoué et la femme trop frileuse se sont séparés.

 

Je suis rentré chez moi, le premier week-end fut dur, j’étais étrangère ici, je n’y avais plus mes repères. J’étais sans lui dans un endroit qui n’était plus chez moi. Peu à peu j’ai repris mes marques, me suis retrouvée et ait aimer être seule à nouveau. Je m’en sens suis voulue de ne pas me sentir triste, de ne pas avoir envie d’y retourner. Comme si tout ça ne s’était jamais passé. Comment ai-je fait pour tirer si vite un trait sur tout ça ?

Avril est maintenant bien installé et les beaux jours nombreux. Lui, il ne m’appelle pas. Moi, je ne me résigne pas, son silence me pèse. J’aimerais savoir ce qu’il pense, les questions qu’il se pose, les pensées qu’il a mais il n’y arrive pas. Il ne me parle pas. Lui qui parle tant, il ne me parle pas. C’est trop frais je crois, trop neuf. C’est trop dur pour lui d’en parler. Moi je me sens tellement frustré de ne pas savoir. On partageait tout, on se disait tout,  on parlait beaucoup et d’un seul coup plus rien. D’un seul coup il faudrait que je fasse avec lui comme avec n’importe qui, je ne peux pas, c’est au dessus de mes forces. On a décidé ensemble de se séparer et ça semble être la bonne décision. Nous n’étions pas compatibles. Mais son silence je ne m’y habitue pas. Il ne peut pas être rien ou personne pour moi. Pourtant, il ne me parle pas ; pas encore. Le peu de fois où on se parle on échange des banalités, ou on s’engueule. Ça me fait mal, si mal, comment en est on arrivé la ? On s’aimait et aujourd’hui on ne peut même plus se parler, ça me fait mal d’avoir réussi à nous faire en arriver là. Est-ce l’apanage de tous les couples qui se séparent malgré qu’ils s’aiment ?

 

Et l’homme trop avoué et la femme trop frileuse se sont déchirés.

 

Aujourd’hui encore en y pensant j’ai pleuré, dites moi comment, on dormait dans le même lit, cote à cote nos souffles se confondaient, comment en est on arrivé la ? Aujourd’hui je crois que j’ai compris sa douleur à lui. Je suis partie mais il est resté. Il s’est retrouvé seul et chez nous est redevenu chez lui. Du jour au lendemain il m’a perdu et des souvenirs de nous traînent partout dans son appartement. Aujourd’hui je me rends compte à quel point ça doit être dur pour lui, plus que pour moi. Il m’a vu rentrer, m’a sentie aller mieux, qu’a-t-il donc penser ? « Je l’ai rencontré  heureuse et rendue malheureuse ». Je me sens coupable de lui avoir fait ça à lui, de lui avoir laisser cette impression, ce sentiment d’impuissance face à mon mal être, de culpabilité face à mon malheur. Je sais qu’il s’en veut, qu’il croie être coupable malgré ce que j’ai beau lui expliquer. Moi aussi je m’en veux, j’ai l’impression de l’avoir abandonner, j’ai si mal d’y penser. Je me sens responsable moi aussi d’avoir voulu croire en une chose pour laquelle je le sais maintenant, j’étais trop jeune, pas prête, trop peu préparé. Je m’en veux de lui avoir donner de faux espoirs de lui avoir fait croire en une chose que je n’ai finalement pas été capable de lui donner. Aujourd’hui à défaut d’autre chose, il a dit merci, il m’a dit merci. Merci, je n’ai pas vraiment compris pourquoi, sûrement pour ce que je suis, merci d’être moi. Sûrement aussi qu’il aura aimé dire d’autres choses mais qu’il n’y arrive pas. Ce merci est arrivé comme un soulagement pour moi. Enfin une chose profonde, une chose de lui qui sortait de sa bouche et qui m’était adressé, enfin.

 

Et l’homme trop avoué et la femme trop frileuse ont su communiquer à nouveau.

 

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2 mai 2006 2 02 /05 /mai /2006 21:13
Un prénom si commun, entendu si souvent.
Mon nez prêt de ton cou, ton odeur comme un souvenir familier, rapidement approprié.
Tu restes lointain, à moi, agréable souvenir.

Le regard que tu as su poser sur moi et je suis enfin devenue femme, dans tes yeux d'homme. Au milieu de cette soirée si sombre et si triste, il se tenait là, ma lumière. Intense, il a réchauffé mon être. Des baisers inimitables, des moqueries justifiés et nos rires d'enfants. Rien que toi, tu me suffisais, tu m'emplissais, j'étais muette, j'étais jeune. Et je me suis laisser tenter, à l'envie, au désir. Tu m'inspirais, je te respirais et je voyagais, tu me voulais.  Tes mains se sont posées sur moi. Effrayé d'abord j'ai reculé, enfin je me suis laisser aller. Les vapeurs d'alcool aidant, j'ai laissé cet homme si commun et si singulier me respirer. Ca a duré, tour à tour dominé et dominante. J'ai tout brisé un jour d'octobre, un hotel, un pari stupide. Il a alors entrepris de tout reprendre. Petit à petit il s'est trouvé pris à son propre piège. Incapable de partir comme il était venu, parvenu, incapable de tout reprendre. Il a laissé sa fierté de coté, oublié sa retenue et il est revenu. Je l'ai revu disposé à m'offrir enfin ce que j'ai désiré longtemps avant. Mais le temps était venu et passé même, j'ai refusé. J'ai gardé mes souvenirs et nos sourires.



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2 mai 2006 2 02 /05 /mai /2006 17:00
Putain mais l'ANPE c'est vraiment des branques !!
Comment perdre une matinée ??
Recette miracle selon l'ANPE

Vous composer leur numéro de téléphone
- Bonjour, j'aimerais me renseigner sur les formations dans le BTP.
- Oui et bien pas de problèmes vous passer et on vous renseignera.
- Si je passe aujourd'hui il y a aucun souci ?
- Non, non vous passez et i y  aura quelqu'un pour vous renseigner.
- OK
- Et vous êtes où à Melun ?
- A coté de la gare. Ok.

Vous prenez votre voiture ou tout autre moyen de transport
Vous vous rendez sur le lieu indiqué par la charmante incompétente du téléphone
Et, SURPRISE, vous vous rendez compte que l'ANPE n'est plus la
Ah bah oui depuis le 16 avril, ils ont comme qui dirait DEMENAGE !!!
Alors vous prenez votre cellulaire et leur téléphonez à nouveau pour redemander poliement
- Où ils se trouvent ?
La dame vous répond un truc pas très clair.
Vous reprenez votre voiture et en tant que femme qui se respecte vous vous perdez, finissez par arriver à la dite ANPE.
Entrez, approchez vous de l'accueil.
- Bonjour, je voudrais me renseigner concernant les formations dans le BTP.
- Ah et bien on reçoit chaque jour de la semaine à partir de 9h et ce durant toute la matinée. (Il est 13 h, vous comprendrez donc que cette petite aventure n'a servi à rien.)
- Un peu énervée, je suis salarié Madame et donc pas disponible tous les jours ...
- C'est de 9h à 12 h chaque jour de la semaine sauf le vendredi (ah nouvelle information), je ne peux rien faire pour vous.


Enervé vous sortez de l'ANPE reprenez votre voiture ou votre RER ou votre Métro, la prochaine personne qui vous parlera se fera agressé, c'est obligé !








Merci L'ANPE de m'avoir fait foutre en l'air ma journée de RTT si chère et si précieuse à mes yeux.

Le fongecif c'est peut etre très bien mais pour ma part j'ai pas le temps de me plonger la dedans
alors je me conteterai de faire avec les moyens du bord.
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2 mai 2006 2 02 /05 /mai /2006 16:58
L'album de Diam's je suis désolé de le dire mais c'est une tuerie le truc.






Merci Mélanie !
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1 mai 2006 1 01 /05 /mai /2006 23:23
TOC TOC
Qui est là ?

OOOOh un vieux souvenir
mais que fais tu là ??
et puis surtout qu'est ce que je vais faire de toi ??








Sur le coup ça a un peu donné cet effet la.




Il y a comme un goût de déja vu dans tout ça.
Très peu pour moi, je me souviens encore de la dernière fois.
Mes souvenirs me suffisent amplement.
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4 avril 2006 2 04 /04 /avril /2006 16:15
Il n'en restera bientot plus que quelques paillettes diluées dans le bocal de la vie.



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18 mars 2006 6 18 /03 /mars /2006 13:08
Mes yeux sont à peine ouverts ce matin. Je suis encore toute embuée de la nuit passé. Et là dans le métro ce matin tout le monde semble être un peu comme moi. Ce n'est rien de plus qu'un vendredi matin fin mars, tout le monde attend impatiemment le printemps.
Et comme à l'accoutumé, un tas d'idées me traversent l'esprit.
Tu aurais du être là hier soir lors de ce dîner stupide et comique à souhait.

Aurait on perdu le goût des bonnes choses ? Personne n'a bu un seul verre de vin, quoi de mieux qu'un peu de vin autour d'un bon plat de pâtes ? J'en ai pris mon parti, j'ai décidé de boire pour eux. J'aurais aimé que tu sois petite souris pour voir cela. Je n'ai partagé aucun des goûts de la "dame" en cinéma; notamment le fait que "les bronzés c'était bien" et j'ai failli exploser de rire lorsqu'elle m'a dit travailler dans la finance. En grattant un peu j'ai en fait découvert que la dame travaillait au service compta de la mairie de St Germain; de mieux en mieux. Ce que les gens sont drôles...
J'ai tellement eu l'air d'une extra terrestre à plusieurs reprises.
D'abord lorsque je lui ai demandé si elle avait fait Dauphine pour travailler dans la finance ? Et ensuite quand j'ai traité mon cher et tendre de pubard en citant le nom de Séguéla. Bien sur personne ne savait qui était Séguéla, ni ce qu'était un pubard d'ailleurs, quand à Dauphine ...

La barrière des langue,s en Europe, c'est un vrai problème pour communiquer.

Entre nous je n'imagine même pas leur réaction si j'avais allumé une cigarette. Je crois que je serais passé pour une tueuse en série. La cerise sur le gâteau ou la goutte d'eau appelle ça comme tu voudras; c'est lorsqu'en parlant du dernier film américain oscarisé Broken Mountain.Il, lui, a osez dire "Ils mettent même des PD au cinéma maintenant" ET LA désolé mais je n'ai pas pu m'empêcher de lui demander
"pardon?"
et de ne pas lui laisser le temps de répondre
"oui, oui il y aussi des arabes et des noirs, fais gaffe ça peut être très dangereux"

On a frolé la catastrophe mais OUF sauvé, sa copine a rit.
En même temps, tu voulais qu'elle fasse quoi d'autre ??

Et voilà que ça s'est mis à parler d'achat de maison, et de prix à 3 chiffres qui  pour moi ne veulent rien dire.
Allez on prend pas les même et on recommence, toujours les même sujets qui ne m'intéressent que très peu. Comme si du haut de leur 25 ans une seule et unique chose les importait : acheter une maison, s'installer, faire comme papa et maman, avoir des bébés. Bizarrement je n'ai eu aucunement envie de leur confier que je pensais reprendre mes études dans le BTP. T'imagine pas, je vais acheter une maison deux ans en retard. Vodrait mieux que je passe les concours de la fonction publique, ce serait plus facile pour l'obtention d'un prêt; oui oui pour la maison.
(ça se passe de commentaires)

Enfin voila, c'est un peu le résumé de la soirée passé en compagnie de l'ex de mon actuel, en compagnie du sien. Moi qui redoutait de la croiser, j'ai eu tout le plaisir d'admirer le fait que je n'avais rien à lui envier. Ses bras font la taille de mes cuisses.



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8 mars 2006 3 08 /03 /mars /2006 21:43
Les yeux plein de larmes naissantes elle cherchait désespérement un regard auquel s'accroché.
Il n'y en eu aucun.
Elle aurait voulu le sien, a lui mais son regard lui était interdit.



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