16 août 2006
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Il y a des jours comme ce soir où je passerai des heures dans les couloirs du métro, anonyme, noyée dans la masse. Personne ne vous voit et tant mieux. Pas envie d'être vue, ni d'être regardée. Vous déambulez noyée dans vous même. Ce soir je n'ai pas envie de rentrer dans cet endroit qui n'est pas vraiment chez moi. Mon corps erre et mon esprit vagabonde, je me sens si lasse de vivre fatiguée. Et je n'ai pas envie de rentrer, il y a des soirs comme ça où je préfère trainer. Partie d'un tout, je me sens ni à bout ni à même ... Entre deux eaux je circule dans les couloirs du métro.
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15 août 2006
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Comment l'exprimer, comment ne pas tomber à coté du sujet ?
Tous les mots sont trop légers pour en parler.
J'aimerais pouvoir le dire, l'écrire mais c'est à vivre; pire c'est à ressentir.
Innondée par tant de complicité, de légereté; le corps et l'âme sont alors liés
Comment s'expliquer à ce sujet sans tomber à coté ?
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13 août 2006
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22:26
Comme elles sont lourdes ces secondes.
La petite fée est exténuée, elles se sent vidée.
Presque lasse d'espérer.
Presque prête à laisser tomber.
Elle a besoin de se reposer, retrouver la force de s'en aller.
Son envie, elle sourit, y pense, oublie, SON ENVIE...
Surtout ne pas se résigner, rien ne doit être fatal.
J'ai jusqu'ici mené le bal, soulevé ces jolies sandales; l'espoir demain de s'en aller.
A quand la décision finale, le verdict fatal ?
Comme elles sont lourdes ces secondes, trop longues. Elles me désepérent.
Ce rêve dont je caresse l'espoir.
Il fait pourtant encore si sombre aujourd'hui l'ombre de mon espoir se raccourcie.
Il n'est plus midi mais il ne fait pas encore nuit.
Mon soleil, ma lune, mon étoile, je ne peux pas, ne conçois plus d'en être séparée.
Aujourd'hui la vie c'est lui mon ami, mi amor, mon or, mon bonheur.
Il me soutient, me prend la main.
Demain ne sera pas sans ça.
Ces pensées trainent dans un coin de ma tête.
C'est presque rien et c'est encore loin, ce jour qui vient.
Savoir si je serais sa princesse dans le bal de la vie, sa princesse près de lui, la bas.
Pour le moment c'est là, latent, j'attends
...
Prête à recevoir le final au creux de mon destin, au creux de nos quatres mains.
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6 juillet 2006
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Je n'arrive pas à dormir, pas à me calmer, pas à me détendre.
J'y pense sans cesse
Etre la bas
Parce que tout vient et cette fois j'y crois
Je crois en moi, je crois en ça
Bouger de la
Vivre la bas
Je suis en chemin, à mi chemin d'enfin.
Tout vient
Et je me sens faire les cents pas
Si j'y arrivai, si ça marchait et si ce n'était pas le cas
Que ce soit la bonne voie ou pas, moi j'y crois
Si je tombais, je me relèverais
Je sais désormais ce que j'ai à prendre, ce que j'ai à perdre
Ici je ne suis pas moi, j'ai besoin d'air.
Rêver dans le métro m'a trop saoulé, je veux bouger.
M'évader, je crois que ce n'est pas une mauvaise idée
Ma vie; bouscule moi, désampare moi, ne m'attends pas, emmène moi la bas.
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4 juillet 2006
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09:33
"Parce qu'être physiquement proche de quelqu'un
ne signifie pas
être proche de quelqu'un"
Hell ne semble pas encore l'avoir compris.
L'étrangére; celle qui vis là, juste à coté.
En écrivant ces mots, je me rends compte.
Cette phrase prend ici tout son sens.
Cette première phrase s'appplique à nous comme à lui.
Hell ne s'approche jamais trop près.
Hell vit à coté de moi et je ne sais pas ce qui la pousse à être ainsi.
Pleine de dédain, de mépris, loin ... de moi, de lui, d'eux. Ces gens sont sa famille.
Hell dort avec lui, il ne connait rien d'Hell; peut être que partager le même lit ça leur suffit.
L'acte comme finalité ... aller chercher ...
Il n'est ni sa famille, ni son ami.
Une relation qu'une seule et unique chose motive.
Dites moi laquelle ??
Mais Hell n'en parle pas, Hell ne nous parle pas
Je ne comprends pas ?
Je ne la comprends pas ?
Comment offrir son corps pour si peu en échange ?
Comment fait Hell pour établir tant de distance entre Hell et nous ?
Et surtout pourquoi ?
Surement pas des ennemis et beaucoup plus que des amis
Hell ne voit pas cela ainsi.
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22 juin 2006
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22:53
Un tas de chemin peuvent être empruntésil faut croire que celui la ne faisait pas partie de ma destinéeLa vie m'en a écarté.Il va falloir y penser.L'idée me ronge, m'a rongé, déja. Que faire de mes 10 doigts si ce n'est pas ça.Il dit "Tu peux tout faire"
comme une solutionAlors que c'est une partie de ce problèmeLa réponse à l'équationUne condition au bonheur.Tout mais quoi ?J'ai voulu arrêter d'y penseret ça m'a ratrapper.Je me disais cesse donc de penser ta vieVis la !Et me voila .. moi, ma vie, mes enviesConfrontée à la réalitéJe ne sais par où commencerVers où allerJ'ai tourné, en rondComme le temps est longà l'étroit dans cette vie la.C'est une porte qui se ferme, pour laisser venir une autre s'ouvrir.Le destin n'a pas de loi, il n'obéit qu'à moi.
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21 juin 2006
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L'amour c'est toujours la même choseUn événementC'est pourtant chaque fois si différent
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15 juin 2006
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Il m'a ditbonne chance pourmes lubiesmes abstractionsmes rêves de grandeurmes chateaux dans la ciel mes papillons dans ma têtemes licornesmes arcs en cielet mon prince charmantet il avait presque tout bon !
J'aime bien mes amis qui me connaissent bien
moi et mes utopies
¤ Barbie au pays des merveilles ¤
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14 juin 2006
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Avez vous déja essayé de descendre des escalators qui montent ??Les desecendre à contre sens, en fait !!Je l'ai fait ! Quand ??Bah pas plus tard que ce matinQuelle idée vous me direz ... Quand on prend un escalator, on le prend jusqu'au bout.Seulement voila, cette fois on m'a helé.Qui ?LuiPourquoi ?Je crois que je lui manquais déja ...Il était là, en bas, de cet escalatoret c'était moi qu'il hélaitPourquoi ?Je crois que je lui manquais ce matin la.Alors j'ai descendu tant bien que mal cet escalator qui montait.Quitte à tomber, j'y suis arrivé.Juste pour l'embrasser avant d'aller travailler.
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13 juin 2006
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Parce qu'il y a longtemps déja je lui ai fais les yeux douxParce qu'il a longtemps déja que je lui plaisParce qu'il y a longtemps déja que je lui fais la moueParce qu'il y a un moment que je le sens vouloir s'approcher de moi.Parce que lui et moi c'est un tas de points communs.Parce que c'est lui, parce que c'est moi.Parce que c'est ni plus ni moins, c'est juste bien.Parce que je n'ai rien à lui cacherParce qu'il connait déja la vérité à mon sujet.Parce qu'il m'a déja énervé, ravi ou fatiguéParce que c'est chaque fois lui et un autre aussi.Parce que j'aime l'entendre me parler même si ça lui est compliqué.Parce qu'on a jamais cesser de se parler.Parce qu'on a toujours été liés.Parce que quand il ne me parle pas, quand je ne sais pas; je viens et lui demande tout basça va ? qu'est ce qu'il y a ?Et la réponse ne m'effraie pas, ni ne m'effraieraQuelle qu'elle soit.Parce que je le sais déja.Parce qu'il connait mes sourires, mes soupirs et qu'il les aime comme ça.Parce que ses mots soont parfois les miens.Parce que mes mots sont parfois les siens.Parce qu'on a confiance. Parce qu'on a de la chance.Parce qu'il était mon ami, parcequ'il est aussi mon amant maintenant.Parce que lui et moi c'est si peu d'effortsParce que nous c'est fort.Parce que ni grandir, ni vieillir ne l'effraiParce qu'il n'a pas peur de ça contrairement à moi.Parce que dans ses bras l'avenir n'est plus un combatParce que contre lui, je ne me bats pas.Parce que je ne l'affronte pas.Parce que lui et moi c'estdeux corpsdeux coeursune seule et même enviedouce vie, douce folie.Parce quand il le dit je n'ai pas peur de luiParce que quand il le dit je ne rougis pasParce que lui et moi c'est comme si ça avait toujours été là.
Parce que lui et moi c'est parfois comme si ça n'existait pas.
Parce que lui et moi ça ne m'inquiète pasParce que lui et moi c'est comme une unique fois.
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